De la bouette, encore de la bouette…mais plus tant que ça !

De la pluie et des journées fraîches et nuageuses.
Voici ce que le printemps 2019 a offert à la majorité des régions du Québec.
Que ce soit pour le malheur des sinistrés des nombreuses inondations, celui des agriculteurs ou de ceux et celles en manque de vitamine D, les conditions météo capricieuses des deux derniers mois n’ont laissé personne indifférent.
 

​Quand on est agriculteur, jardinier ou maraîcher, de telles conditions nous font retenir notre souffle. « Quand pourrons-nous enfin débuter convenablement les travaux des champs ? »
 
Parce que pour démarrer la saison, ce que nous avons besoin, c’est d’un sol qui a pu s’assécher, de nuits sans gel et de journées sans trop de nuages pour permettre aux jeunes plants de profiter des longues heures d’ensoleillement de mai à juillet.
 
Et vraiment, ce n’est pas ce à quoi nous avons eu droit ce printemps.
 
Aux Jardins Lakou, les caprices de Dame Nature m’ont tout autant affecté.
Puisque j’en suis à ma première saison, l’installation de mes lieux de travail et des espaces de culture (les parcelles) était la première étape cruciale au démarrage de ma saison.
 
Pour le démarrage initial des espaces de culture afin de transformer les champs de pâturage en terre cultivable, je devais pouvoir passer mes surfaces au motoculteur.
 
Mais, quand il pleut continuellement, ...eh bien, ça fait de la bouette, et encore de la bouette.

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